Je doute, tu doutes, nous doutons. Tout le monde est amené à douter un jour. Cependant, cet état d’esprit s’exprime à différents degrés au sein de la population. Dans la vie, on croise différents types de personnes. Il y a ceux qui foncent tête baissée, qui agissent sans prendre le temps de réfléchir. D’autres, posés et réfléchis, faisant bon usage du doute.
Puis, il y a les autres. Ces autres qui ont l’impression de tromper tout le monde. Ces autres qui se sentent illégitimes. Ces autres qui pensent ne pas mériter leur succès. Victimes d’un doute maladif, ils sont touchés par ce qu’on appelle le « syndrome de l’imposteur ». Mais cela n’arrive pas qu’aux autres. La preuve, 70 % des personnes dans le monde seraient affectées à un moment donné de leur vie par ce complexe. Il se trouve que je fais partie de ce pourcentage en ce moment même. Et peut-être même que toi aussi, sans le savoir. 🤯
PS : Tout au long de l’article, les termes « syndrome de l’imposteur », « phénomène de l’imposteur », « complexe d’imposture », « syndrome de l’autodidacte » seront employés comme autant de synonymes.
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ? 🧐
Quel est le point commun entre Einstein, Tom Hanks et Serena Williams ? Victimes de leurs succès, tous trois souffriraient du syndrome de l’imposteur. Mais, qu’est-ce que c’est que ce truc ? Encore, un effet de mode ? Revenons à sa genèse. 👇
L’estime exagérée dans laquelle on tient mon travail me met parfois très mal à l’aise. il me semble quelquefois être un escroc malgré moi.
Albert Einstein
Physicien théoricien
Une première approche de la définition 🔎
Ce concept a été employé pour la première fois en 1978, par Pauline Rose Clance et Suzanne A. Imes, professeures de psychologie à la Georgia State University. Elles ont recueilli le témoignage de 150 femmes toutes reconnues pour leur parcours académique flamboyant et leurs compétences vis-à-vis de leurs pairs.
💬 De cet interrogatoire, sont souvent revenus : « je suis à ce poste parce que mes capacités ont été surestimées » ou encore « je ne suis pas assez bonne pour être à cette faculté. Une erreur a été commise dans le processus de sélection. »
Le syndrome de l’imposteur pourrait donc être défini de la sorte : un sentiment de malaise profond caractérisé par un doute de soi permanent conduisant l’individu concerné à attribuer ses accomplissements personnels à des facteurs qui lui sont hors de portée (la chance, le hasard) et à employer des stratagèmes pour correspondre à l’image qu’il a de lui. Ça te parle ? Voyons ensemble, ces quelques signes qui pourraient confirmer (ou non) tes doutes. 🤷
Tu es peut-être concerné par ce phénomène si…
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Un schéma psychologique qui s’autoentretient grâce à deux mécanismes ⚙️
Ce qu’il y a de plus vicieux dans ce mécanisme c’est qu’il s’autoentretient. Si tu es sujet à ce phénomène, tu vas chercher à tout prix une explication causale à ta réussite. Puisque tu es incapable de t’attribuer tes propres mérites, tu vas employer deux rituels comportementaux : l’underdoing et l’overdoing qui, in fine, ne fait qu’accroître ce florilège d’affects négatifs. 😬
- Underdoing : pour ne pas avoir à faire face au succès, tu peux pratiquer la procrastination, autrement dit, repousser la tâche demandée toujours au lendemain de manière à obtenir de façon inconsciente une preuve de ton incompétence.
- Overdoing : Ayant constamment l’impression d’être « en retard » (= tu cherches à compenser des lacunes inexistantes) et que ton « vrai visage » est sur le point d’être dévoilé au grand jour, tu as tendance à exercer un travail compulsif, frénétique et disproportionné par rapport à la tâche à effectuer. De celle-ci apparait un résultat positif que tu vas mettre sur le dos de l’effort et, par conséquent, te conforter dans cette image faussée que tu t’es donné. A trop tirer sur la corde, elle finit par casser…
Deux résultats sont possibles à l’issue de ces stratagèmes :
1)Soit le résultat est positif (la majeure partie du temps) et par conséquent, tu attribues ta prouesse à des facteurs dont tu n’as aucune prise (la chance, le hasard, l’empathie) dans le cas du sous-investissement 🍀 ou à l’effort fourni dans le cas du surinvestissement.
2) Soit il est négatif, et dans ce cas, tu valides ce que te répète la petite voix dans ta tête : « je n’ai pas les capacités nécessaires », « je savais bien que je n’y arriverais pas », « à tout moment, ils vont se rendre compte que je suis une arnaque ». Ceci est un cas typique de prophétie auto-réalisatrice. A force de croire que tu n’en es pas capable (1), tu adoptes un comportement (2) pour le vérifier en t’autosabotant par le biais d’actes manqués ce qui a pour conséquence de faire advenir la prophétie de départ (3). 😓
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D’où tire-t-il son origine ? 🤔
Le phénomène de l’imposteur fait surface dans les périodes de transition de la vie. L’entrée dans le supérieur, l’obtention d’une promotion, nouveau cursus … tous ces événements peuvent déboucher sur ce phénomène. Ni toi, ni moi ne sommes donc protégés. En revanche certains y sont plus confrontés que d’autres, et c’est ça qui fait toute la différence. Pour certains, il n’est juste que de passage, d’autres ont affaire à lui quotidiennement. 😭
Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera toute sa vie à croire qu’il est stupide.
Albert Einstein
Physicien théoricien
En comprendre les rouages 😮
Tu penses être un habitué du syndrome de l’imposteur ? Observons ce qui se cache derrière ce mécanisme :
- Une faible estime de soi : si tu te sens concerné par cet état, saches que cela est principalement dû à un manque d’estime de toi. C’est parce que je ne crois pas en mes capacités, que je vis dans le déni de mes réussites. Tu te remets sans cesse en question, quitte à remettre en cause ta propre valeur. Rien que le fait de banaliser tes réussites le prouve. Ton manque d’estime de toi peut s’expliquer par une surestimation ou une absence de valorisation de tes compétences venant de tes parents alors que tu étais enfant.
- La comparaison sociale comme essence du syndrome : comme dit précédemment, tu sembles avoir une mauvaise perception de toi-même, en décalage avec la réalité. On pourrait te donner toutes les preuves au monde témoignant de ton intelligence, tu n’y croirais pas. S’ajoute à cela, une tendance à comparer tes faiblesses aux forces des autres. Tu en viens alors à penser que tu n’es pas à la hauteur. Se crée par la suite un sentiment d’illégitimité.
- Un environnement compétitif propice à son développement : Évoluer dans un environnement compétitif (classes préparatoires, PACES, études de droit…), c’est augmenter le risque d’apparition de ce complexe d’imposture. En étant entouré de personnes brillantes, et au vu d’une tendance à la comparaison ascendante, tu vas provoquer une sorte de biais dans l’évaluation de ta compétence scolaire dit illusion d’incompétence. Souvent, le syndrome de l’imposteur demeure en sommeil jusqu’au moment d’entrer en études supérieures, lieu où la pression de réussite est à son plus haut point.
- Le statut socio-économique : être issu d’un milieu modeste puis grimper dans l’échelle sociale, peux te faire éprouver un sentiment de déloyauté vis-à-vis de tes proches. A l’école ou à ton boulot, tu peux avoir l’impression de ne pas être à ta place et d’être constamment sur la sellette.
- Le diktat social : avoir les félicitations, être premier, avoir au-dessus de la moyenne de classe… Toutes ces injonctions dépeignent des standards de réussite. Se dessine un archétype de l’enfant idéal : « le plus beau, le plus intelligent, le plus… ». De cette quête de la performance ou du « toujours plus », naît une peur de l’échec étroitement liée à une peur du succès. C’est le reflet des stéréotypes sociaux qui te pousse à te calquer sur un idéal inaccessible. Pour entrer dans le moule, tu vas adopter une attitude perfectionniste allant de pair avec le complexe de l’imposture.
- Dissonance de discours entre le cercle familial et le cadre scolaire : on l’a dit, entendu et redit : notre enfance nous façonne. Ceci est aussi plausible dans le cas du syndrome de l’autodidacte qui est né d’une image de soi laissée en suspens avec d’un côté des louanges faites par un membre de ton entourage scolaire ou familial, et de l’autre des critiques portées par un enseignant ou un membre de ta famille. Face à ce dilemme, le feedback négatif l’emporte sur le feedback positif.
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Les gestes qui trahissent… ❌
Quand toutes ces conditions sont réunies, ta façon d’agir et de penser en pâtit. Voici 10 signes qui ne trompent pas :
- Tu as un besoin d’approbation constant sur les travaux que tu as réalisés.
- Tu relis de manière compulsive et dans les moindres détails toutes tes réalisations pour être certain que tout soit parfait.
- Tu justifies tes réussites par le « oui mais … c’est parce que le prof m’aime bien » et tu as tendance à couper la parole lorsqu’on te fait un compliment.
- Tu ressens le besoin permanent de te justifier auprès de tes enseignants, de tes camarades et/ou de ton entourage.
- Tu évites les défis à cause d’une peur panique de l’attention. Être sous le feu des projecteurs, c’est pour toi prendre le risque de montrer à tout le monde que tu n’es que « banal » et que tu ne mérites pas plus d’attention qu’une autre personne.
- Tu ne demandes jamais de l’aide aux autres par crainte qu’ils voient ton « manque de connaissances. »
- Tu es un éternel insatisfait. Même avec d’excellents résultats et un panel de gratifications, tu trouves encore le moyen d’être insatisfait pensant que tu aurais pu faire mieux. En fin de compte, tu ne tires aucune fierté de tes accomplissements.
- Tu te questionnes sans cesse sur le pourquoi du comment : « Comment se fait-il qu’ils m’aient choisi moi ? »
- Tu n’oses pas demander à être promu ou à avoir accès à de plus hautes responsabilités, car tu penses ne pas le mériter et que tu as peur de l’après.
- Chaque échec essuyé te fait ressentir une très forte humiliation.
Un phénomène non sans conséquences 😱
Tu les entends les voix ? Tu sais celles qui te susurrent à l’oreille « je suis nul », « de toute façon, tout le monde peut le faire » et le « j’ai eu de la chance rien d’autre » qui résonnent comme des coups de massue. 🙉
Le doute est le pire de tous les maux, car il les suppose tous.
François de La Rochefoucauld
Écrivain français
Petit à petit, ces phrases (souvent inconscientes) s’infiltrent dans ton esprit et finissent par prendre possession de toi et par causer des dégâts :
- Les doutes te rongent, cela t’empêche même de dormir la nuit, la crainte d’être démasqué encore plus … si bien que tu finis par te replier sur toi-même. Délaisser ceux que tu aimes te semble plus facile : c’est l’unique solution pour ne pas être pris en flagrant délit d’imposture. Tu te retrouves seul avec tes démons. 😈
- Ne pas t’adresser aux autres : c’est la peine que tu t’es donnée. Ça serait trop embarrassant à la fois pour eux et pour toi (enfin c’est ce que tu penses). Tu crois ne pas être capable de soutenir une conversation avec eux à cause de « ton manque de connaissances » (c’est dans ta tête que tout ça se passe, tu es bien plus intelligent et cultivé que tu ne le penses). Pour ne pas laisser transparaître ton incompétence, tu choisis la voie du silence. 🤫
- Elle t’asphyxie, te tord l’estomac, te tiraille de tous les côtés : la culpabilité. Premièrement, celle d’occuper la place de quelqu’un d’autre. Deuxièmement, celle de ne pas exploiter tes capacités alors qu’au fond de toi tu sais que tu peux mieux faire. 😣
- Le poids des attentes parentales, scolaires et sociales pèse lourd dans la balance, ce qui donne le résultat suivant : un mélange entre anxiété paralysante et fatigue lancinante. 😫
- A la longue, ce phénomène énergivore peut vite devenir encombrant et t’handicaper au quotidien. Et, dans les cas les plus graves, conduit au burn-out et/ou à la dépression. Se situant en dehors de mon champ de compétences, tu peux faire appel à un professionnel pour faire face à tes souffrances. 🤕
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Conseils pour lever le masque (non pas celui-là, l’autre) 🎭
A défaut de ne pas pouvoir enlever nos masques chirurgicaux, enlevons celui qui nous voile la face ! Et là tu te dis : « euh… si c’était aussi simple, ça se saurait, non ? ». Un chemin escarpé, épineux, sinueux, semé d’embûches, interminable, digne d’un parcours de combattant, t’attend ! Qui meilleure conseillère que celle qui est passée par là ? C’est bibi ! 😙
N’essayez pas de devenir un Homme qui a du succès. Essayez de devenir un Homme qui a de la valeur.
Albert Einstein
Physicien théoricien
1️⃣ Conseil n°1 : avoir le déclic
T’as déjà ressenti une prise de conscience soudaine vis-à-vis de tes comportements et de tes agissements ? Une sorte de révélation, comme si tout prenait enfin son sens ? Un puissant sentiment, digne de te faire crier Eurêka ? En psychanalyse, on appelle ça l’insight, et c’est selon moi le premier pas pour s’extraire de ce cercle vicieux. Là t’es en train de penser : « euh ouais t’es bien gentille mais comment on le provoque ce déclic ? ».
Toucher le fond pour mieux rebondir (j’avoue que ce n’est pas très glamour dit comme ça). Le mélange de rage, de haine, de colère, de tristesse, d’impuissance, de frustration qui t’habite ne demande qu’à éclater. Mais pour que le déclic se produise, il lui faut un point de départ. Cela peut être un événement, un mot, une phrase, une rencontre, une parole. Et lorsque l’électrochoc a lieu, il faut être prêt à saisir l’après pour passer du cercle vicieux au cercle vertueux. 🌠
Pour ma part, ce fut une succession d’indices qui m’a mis la puce à l’oreille dont le podcast d’Emotions sur le syndrome de l’imposteur : pourquoi nous hante-t-il ? que tu peux voir juste ici 👇
2️⃣ Conseil n°2 : mettre des mots sur ses maux
Miroir, miroir, dis-moi qui je suis ? Et si cette locution était finalement ta porte de sortie ? Pour savoir qui l’on est, il faut savoir d’où on vient. Réétudie ton histoire, replonge dans tes racines, reviens aux sources du problème. Et lorsque tu te sens prêt, prends un carnet, une feuille, une esquisse et déballe tout ce que tu as sur le cœur. Rien que le fait de coucher ses états d’âme sur le papier, allège nos maux et permet de s’en libérer !
Alors, prêt pour un face-à-face avec toi-même ? 👀
3️⃣ Conseil n°3 : tenir un cahier de réussites
Aux grands maux, les grands remèdes. Tenir un cahier de réussites en fait partie (interdiction de me dire que tu n’en as pas, qu’elles soient « petites » ou « grandes » cela reste des réussites). Pour te donner quelques idées de quoi noter dans ton carnet, voici une sélection de ce qui a marché pour moi :
🌟 Les appréciations de mes professeurs (ressors tes anciens bulletins, ça aide)
🌟 Les retours positifs de mes camarades de classe relatifs à un projet, à un devoir, à une présentation…
🌟 Les gratifications que ma famille et mon groupe d’amis ont porté à mon égard
🌟 Les mots doux de mes profs laissés sur mes devoirs
🌟 Les tâches effectuées dans ma journée
🌟 Mes progrès dans telle ou telle discipline
🌟 Les souvenirs qui m’ont laissé le sourire aux lèvres
🌟 Les projets dont je suis fière
🌟 Les citations de mes auteurs favoris (ça c’est pour le fun)
N’hésite pas à y coller des captures d’écran, des photographies, des petits mots, des devoirs…toutes les preuves témoignant de tes succès. Implémente cette activité quotidiennement pour un résultat plus efficace. Maintenant tu n’as plus aucune excuse, à chaque fois que le syndrome de l’imposteur toquera à ta porte, sors ta baguette ton cahier magique ! 🎇
Tu verras qu’au final le plus dur, ce ne sera pas de mettre sur papier tes réussites, mais de trouver assez de cahiers pour pouvoir les répertorier !😉
PS 1 : No censure ! Tous les codes traditionnels d’écriture à la poubelle ! Agis à ta guise et laisse ton libre arbitre opérer. ❤️
PS 2 : Prends soin de bien le cacher. On connaît tous quelqu’un capable de remuer ciel et terre pour le trouver (sœurs et frères par exemple, je dis ça, je dis rien…) 😏
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4️⃣ Conseil n°4 : remplacer l’envie par l’admiration
On le sait, depuis quelques années maintenant, les réseaux sociaux (le mal du siècle ?) sont une terre fertile à l’envie, la jalousie et la comparaison. Et pour lutter contre les affres de l’envie, tu peux faire le choix de l’admiration.
Regarde un petit peu autour de toi : un de tes amis, un oncle, une tante, un collègue de travail… Souvent, la réponse se trouve juste à côté de nous. De par son parcours, de par son expérience, de par ses casse-gueules, ton mentor saura te transmettre les leçons précieuses qu’il a su tirer de la vie. Organise une conversation avec l’heureux élu, crois-moi tu en sortiras avec les étoiles plein les yeux. 🤩
5️⃣ Conseil n°5 : never give up
Comme dans toute relation, il y a des hauts et des bas. Et bien, c’est pareil pour celle que l’on entretient avec soi-même ! Par définition, un phénomène est de passage. Tu es le seul à pouvoir décider de changer et de prendre les choses en main pour mettre fin à ce cercle vicieux. Certes, c’est un travail de longue haleine. Certes, c’est difficile. Certes, on a l’impression de faire un pas en avant, deux pas en arrière. Mais ce qu’il y a à la clé est plus précieux que n’importe quoi se trouvant sur cette Terre : son chez-soi. Never give up ! 💪
Pour aller plus loin 📚
👉 Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur et comment le combattre ? – Elizabeth Cox
👉 5 conseils pour venir à bout du syndrome de l’imposteur – Welcome to the jungle
👉 Douter de sa légitimité au travail : le syndrome de l’imposteur – Welcome to the jungle
👉 Cessez de vous déprécier ! Se libérer du syndrome de l’imposteur – Kevin Chassangre et Stacey Callahan.
Conclusion : aime toi toi-même ❤️
Le syndrome de l’imposteur n’est pas une maladie incurable … c’est un schéma psychologique ce qui signifie que tu peux t’en sortir avec de la conviction, de la détermination et de la motivation ! Si tu en es là aujourd’hui, c’est uniquement grâce à tes capacités, ton potentiel et ton talent. Dans la vie, personne n’est parfait et tout le monde doute. Lorsqu’on a compris cela, on voit la vie d’un tout autre œil. 😉
Il y a pire que toi, il y a mieux que toi, mais il n’y en a pas deux comme toi.
La Team Sherpas 💖