À retenir
- Le roman Le Dernier Jour d’un condamné dénonce la peine de mort comme une pratique barbare ;
- Le récit expose les pensées et l’angoisse d’un homme durant les heures avant son exécution ;
- Le lecteur ignore le nom et le crime du condamné, l’auteur concentre le récit sur la souffrance humaine.
Tu te prépares pour un contrôle sur Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo ? Ce monument de la littérature française, qui dénonce la peine de mort et a élargi les frontières de la littérature du XIXe siècle.
C’est ce qu’on te propose dans cet article : un résumé détaillé de l’œuvre, le contexte d’écriture, et des pistes d’analyse pour tout comprendre de l’ouvrage.
| Titre | Le dernier jour d’un condamné |
|---|---|
| Auteur | Victor Hugo |
| Date de publication | 1829 (anonymement), puis 1832 |
| Type de roman | roman à thèse |
| Mouvement littéraire | romantisme |
| Nombre de chapitres | 49 |

Le contexte d’écriture 🔎
De son vivant, Victor Hugo (auteur célèbre de livres comme Les Misérables ou Les Contemplations) est profondément engagé sur le plan politique. Il lutte contre la misère sociale, défend la liberté et s’oppose fermement à la peine de mort.
À plusieurs reprises, il assiste à des exécutions publiques par guillotine, notamment sur la place de l’Hôtel de ville à Paris. Cette expérience fait naître chez lui une profonde indignation, il y voit une société qui, froidement, reproduit les actes qu’elle condamne.
C’est cette indignation, mêlée à une volonté de faire réfléchir ses contemporains, qui le pousse à écrire Le Dernier Jour d’un condamné. Et cela à seulement 26 ans !
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À quel genre appartient Le Dernier Jour d’un condamné ? 📖
Le Dernier Jour d’un condamné est un roman à thèse, c’est-à-dire un récit écrit pour défendre une idée. Il s’agit ici d’un véritable plaidoyer contre la peine de mort : Victor Hugo cherche à émouvoir, choquer et faire réfléchir ses lecteurs pour les convaincre de l’inhumanité de cette pratique.
💡Qu’est-ce qu’un plaidoyer ?
D’après le dictionnaire de l’Académie française, un plaidoyer signifie un discours ou un écrit qui prend la défense d’une personne, et qui soutient une idée ou une cause.
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Les personnages et lieux 👥
Le personnage principal est le condamné à mort. On ne connaît ni son nom, ni son crime, ce qui est un choix volontaire de Victor Hugo. Cela permet au lecteur de s’identifier à lui, et de se concentrer sur sa souffrance plutôt que sur sa culpabilité.
Les autres personnages sont secondaires mais symboliques :
- Le geôlier et les gardiens incarnent la froideur du système judiciaire, obéissant sans émotion ;
- Le prêtre, censé apporter du réconfort, représente la religion face à la mort. Le condamné semble refuser les deux ;
La foule ou les curieux venus assister à l’exécution montrent le voyeurisme cruel de la société, qui voit les exécutions comme des spectacles divertissants ; - La fille du condamné (appelée Marie) qu’il voit brièvement sans qu’elle le reconnaisse, est une figure poignante de l’innocence et du lien familial brisé.
📍 Les lieux, eux aussi, ont une grande importance symbolique :
- La prison représente l’attente, l’angoisse et l’isolement ;
- La Conciergerie, lieu historique où de nombreux condamnés ont attendu leur exécution, renforce l’idée d’un destin déjà scellé.
La chambre de l’Hôtel de ville, où le condamné passe ses dernières heures, symbolise la proximité avec la mort, c’est là qu’il attend, entouré d’une société qui le regarde mourir sans compassion.
Résumé chapitre par chapitre ✍️

Chapitres 1 à 3
L’œuvre s’ouvre sur un monologue intérieur, le prisonnier se rappelle son passé et il est hanté par sa condamnation à mort.
Le narrateur raconte le récit du jugement et de la condamnation. Il décrit les personnages, juges, jurés et le lieu, la salle d’audience. Il réfléchit ensuite sur le bien-fondé de la condamnation à mort.
Chapitres 4 à 6
Transfert de la prison de Bicêtre. Le narrateur crée son journal pour exprimer et communiquer ses souffrances.
Chapitres 7 à 9
Espérant être sauvé, la condamnation continue d’obséder le personnage et de le torturer. Il compte les jours qu’il lui reste : six semaines. Il évoque ensuite sa femme et sa fille de trois ans.
Chapitres 10 à 12
Description de la cellule, il lit les inscriptions sur les murs. Ces trois chapitres sont ponctués par l’angoisse et la panique du personnage face à la mort.
Chapitres 13 à 15
Récit des préparatifs des forçats (condamnés). Description de la prison et du spectacle atroce auquel il assiste, des forçats aux pieds attachés, sous la pluie, chantant leurs malheurs. Il s’évanouit et se réveille à l’infirmerie. L’espoir resurgit, il tient à la vie et espère la grâce.
Chapitres 16 à 18
Nouvelle phase d’angoisse et de terreur. Il décrit un rêve entrecoupé de prise de conscience et de retour à la réalité sur sa mort imminente.
Chapitres 19 à 21
Le directeur de la prison vient le voir, il pense que son heure est arrivée. Le pourvoi en cassation est rejeté, son exécution aura lieu aujourd’hui. On vient le chercher dans une heure.
Chapitres 22 à 24
Le condamné est transféré à la Conciergerie, il est 8 h 30. La foule est d’ores et déjà attroupée pour voir le spectacle. Il est enfermé avec un autre condamné. Il échange sa redingote contre la veste du vieil homme.
Chapitres 25 à 27
Dans une autre cellule et à sa demande, on lui apporte une chaise et une table pour pouvoir écrire. Il pense à sa fille. Crise d’angoisse et peur paralysante.
Chapitres 28 à 30
Le narrateur imagine sa condamnation à mort. Il est encore plein d’espoir et espère la grâce. Le prêtre arrive, mais le protagoniste le renvoie.
Chapitres 31 à 33
Un architecte le dérange dans son introspection. Des travaux seront faits dans 6 mois pour rénover la prison. Un nouveau gendarme vient surveiller le condamné et lui fait une étrange demande, venir lui rendre visite dans ses rêves une fois mort pour lui dire les numéros de la loterie. Le narrateur se réfugie dans ses souvenirs d’enfance pour se réconforter.
Chapitres 34 à 39
Le crime pour lequel le narrateur est condamné est abordé. Il pense à la vie normale. Il reste 2 h 45 à vivre. Il ressent des douleurs physiques violentes. Il a peur de souffrir pendant la guillotine. Il se demande qui a pu affirmer que cela ne faisait pas mal et que c’était rapide.
Chapitres 40 à 45
Dernier espoir de la grâce pour le narrateur. Les émotions sont très vives et changeantes. Il se met à imaginer ce qu’est la vie après la mort. Il se demande ce que va devenir son âme et veut voir un prêtre.
On lui annonce la présence de sa fille qui ne le reconnaît pas. Il se plonge dans son exécution et l’imagine.
Chapitres 46 à 49
Il essaye d’écrire une histoire à sa fille. Le condamné est dans une chambre à l’Hôtel de ville et on vient le chercher pour l’exécuter : ses cheveux sont coupés et ses mains liées.
Dernier espoir, il demande 5 minutes au gendarme. Ces minutes lui sont accordées et il espère être gracié, mais à quatre heures, l’exécution a lieu. La narration s’arrête net, sans détail, sans émotion. Cette fin brutale souligne l’inhumanité du châtiment.
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La structure de l’œuvre 🧐
Les 49 chapitres du roman (numérotés en chiffres romains) varient en longueur et en contenu. On peut les regrouper en plusieurs ensembles thématiques qui se mêlent tout au long du récit.
Les chapitres rétrospectifs reviennent sur des moments clés de son passé, comme le procès ou le départ des forçats.
À noter : un chapitre (numéro XLVII) est entièrement vide, censé raconter sa vie, mais volontairement laissé blanc, un geste fort, qui souligne l’effacement de son identité.
Les chapitres descriptifs dressent un tableau sombre et précis des lieux : le cachot, la prison, la Conciergerie, l’Hôtel de ville… Ces descriptions contribuent à renforcer l’atmosphère oppressante.
D’autres chapitres explorent ses réflexions, souvenirs et cauchemars. On le voit penser à sa fille, rêver d’une vieille femme bienveillante, ou encore se souvenir de sa famille. Ses rares interactions avec d’autres personnages sont brèves mais soulignent son isolement.
👉 Quelques chapitres échappent à tout classement : leur caractère fragmenté reflète les pensées d’un homme au seuil de la mort, pris entre passé et présent, entre réalité et vertige intérieur.
Le savais-tu ? 👀
Lors de sa première publication en 1829, Le Dernier Jour d’un condamné paraît sans nom d’auteur.
Hugo ajoute par la suite deux préfaces :
- Il ajoute peu après Une comédie à propos d’une tragédie en préface. C’est une saynète satirique (une pièce comique) où il répond aux critiques des lecteurs avec des personnages caricaturaux.
- Puis en 1832, il rédige une longue préface engagée dans laquelle il affirme clairement son objectif, et signe de son nom : il dénonce la peine de mort comme une barbarie inutile.
Thèmes et pistes d’analyse 👇
Au sein de son plaidoyer, Victor Hugo aborde de nombreux thèmes qu’il est intéressant de soulever et d’analyser.
Le temps
Le récit est rythmé par l’approche de l’exécution : le temps devient obsessionnel. Le narrateur vit dans un « présent-radical » où l’avenir est négation (il n’y en a plus) et le passé se réduit à regret. Hugo confine son protagoniste à un présent qui le sépare de son passé et lui nie son avenir.
Comment Hugo fait-il cela ?
- Le récit est à la première personne, à la forme de journal ou monologue intérieur, ce qui accentue l’immédiateté de chaque minute ;
- Les chapitres sont très courts, parfois à peine un paragraphe, ce qui crée un rythme haché, une respiration anxieuse ;
- Le temps est décrit paradoxalement comme très long (l’attente) et très court (la vie qui s’éteint).
On peut souligner que le temps ici devient un instrument de torture psychologique : l’attente prolonge la mort anticipée, ce qui accentue la dénonciation de la peine capitale.
La mort
La mort n’est pas seulement l’événement final, mais un horizon omniprésent qui modifie toute la vie du narrateur. Elle interroge aussi le sens de l’existence :
- Le crime du narrateur reste anonyme (« moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! ») ce qui rend sa mort plus universelle ;
- Le style lyrique et pathétique : exclamations, répétitions, souffrance exprimée directement (registre pathétique) et parfois lyrisme (registre lyrique).
La mort représente non seulement la fin de la vie mais aussi la négation de la dignité humaine lorsqu’elle est administrée de façon institutionnelle. Le fait que Hugo ne nomme ni ne détaille le crime fait de la mort une condamnation « de principe », pas seulement personnelle.
L’enfermement
L’enfermement est à la fois physique (la cellule, la prison) et mental (les pensées obsédantes, l’angoisse, l’impuissance). Le texte explore comment l’homme devient prisonnier de lui-même :
- Le décor carcéral est décrit avec précision, et Hugo utilise le registre réaliste ;
- Le monologue intérieur accentue l’enfermement psychique.
On peut lire l’enfermement comme métaphore de la condition humaine devant la justice et la mort : l’homme se trouve isolé, réduit à soi, face à un destin impitoyable. Cette lecture rejoint les questionnements du romantisme sur l’individu.
La fatalité
Le narrateur ne peut plus agir, tout semble écrit, l’exécution est inéluctable. Le thème de la fatalité renforce l’absurdité de la situation :
- Le narrateur parle d’un avenir qui lui est refusé ;
- Le fait que le crime ne soit pas précisé renforce l’universalité de la fatalité, ce pourrait être n’importe qui, n’importe quel jour.
La fatalité est ici montrée comme une conséquence de l’institution (justice, guillotine) mais aussi du temps qui s’écoule vers la mort. On pourrait aussi engager une lecture existentialiste : l’homme confronté à son « néant » (sa mort) et à l’impuissance.
L’atrocité / la torture
La torture ne se limite pas à l’exécution mais à l’attente et aux conditions de la prison. Le texte souligne la cruauté de la peine de mort non seulement comme fin mais comme processus :
- L’attente de l’exécution est décrite comme une échelle de tortures qui se termine à l’échafaud ;
- Le traitement réaliste des prisonniers, les descriptions des souffrances, notamment le ferrage des forçats, montrent l’inhumanité des peines.
Le procédé littéraire consiste à forcer le lecteur à ressentir l’horreur en se mettant dans la peau du condamné. Cela permet à Hugo d’atteindre l’objectif du « roman à thèse » : rendre tangible l’absurdité et l’inhumanité de la peine de mort.
L’expression des sentiments
Le narrateur exprime sa peur, son doute, ses souvenirs, sa nostalgie — l’humanité du condamné est mise en avant :
- Le style introspectif, le « je » omniprésent, la focalisation sur les émotions intimes ;
- La scène poignante de la visite de la fille : l’innocence qui ignore le père condamné, brisant l’image de l’homme.
Cette humanisation contribue à la critique sociale : le condamné n’est pas un monstre, il est un être humain confronté à une mort institutionnelle. Cela casse la distance morale que la société pourrait vouloir garder.
Le monologue intérieur
Le roman prend la forme d’un journal intime, révélant les pensées les plus profondes du condamné, sans filtre. Il s’agit d’un style d’écriture introspectif.
Ce style permet de plonger dans la conscience du personnage, de ressentir sa peur, ses doutes, et son désespoir face à la mort imminente. En donnant la parole à un homme que la société condamne au silence, Hugo suscite l’empathie du lecteur.
La réflexion sur le sens de la vie
Face à la mort imminente, le narrateur interroge sa vie, sa culpabilité, le système de justice, l’humanité. Le texte devient métaphysique :
- Le narrateur évoque ce qu’il a été « un homme comme les autres », ce que la vie lui offrait et ce qui lui est retiré ;
- Le plaidoyer explicite de Hugo dans la préface de 1832 fait le lien entre le roman et une remise en cause de tout système de punition.
On peut lire ce discours comme un questionnement romantique sur l’existence : la vie humaine est-elle sacrifiable ? Quelle est la valeur du « dernier jour » d’un homme ? Cela donne à l’œuvre une dimension universelle et intemporelle.
“Quoi que je fasse elle [la mort] est toujours là… comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse.”
Victor Hugo
Le dernier jour d’un condamné
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Tu sais maintenant tout sur ce chef-d’œuvre. On espère que ce résumé t’aura permis d’y voir plus clair. ☀️
Les questions fréquentes ✅
Quelle est la morale du livre Le Dernier Jour d’un condamné ?
La morale du livre est une dénonciation de la peine de mort, vue comme une pratique barbare et inhumaine. L’auteur montre que tuer un homme au nom de la justice est une contradiction morale.
Pourquoi Victor Hugo s’oppose-t-il à la peine de mort ?
Il considère qu’aucune communauté n’a le droit de décider de la vie ou de la mort d’un individu. Il juge cette pratique cruelle, inefficace et indigne d’un pays civilisé.
Quels sont les arguments d’Hugo contre la peine de mort ?
Hugo insiste sur la souffrance psychologique extrême du condamné, l’irréversibilité de l’erreur judiciaire et l’échec de la peine comme outil dissuasif. Il critique aussi l’hypocrisie d’une société qui tue pour punir le fait de tuer.
Pourquoi lire Le dernier jour d’un condamné ?
Parce que c’est un texte engagé, puissant et accessible, qui fait réfléchir sur la justice, la mort et l’humanité. Il reste tristement actuel dans les pays où la peine de mort existe encore.
Comment s’exprime la souffrance dans le roman ?
Elle est exprimée à travers le monologue intérieur du personnage, marqué par l’angoisse, la peur, l’attente et le désespoir. La lente progression vers la mort rend cette souffrance presque insupportable pour le lecteur.
Qu’est-ce qui a poussé Victor Hugo à écrire Le dernier jour d’un condamné ?
Victor Hugo s’engageait contre la peine de mort dès ses 26 ans. Il a assisté à des exécutions publiques par guillotine sur la place de l’Hôtel de ville à Paris. Ces scènes provoquent chez lui une profonde indignation et le mènent à écrire ce livre en 1829.
En quoi ce livre est un plaidoyer contre la peine de mort ?
C’est un roman à thèse qui défend une idée précise. Victor Hugo cherche à émouvoir et choquer ses lecteurs pour les convaincre de l’inhumanité de cette pratique. Il expose la torture psychologique de l’attente et la cruauté d’une société qui tue au nom de la justice.
Pourquoi le personnage principal du livre n’a pas de nom ?
Victor Hugo fait ce choix de manière volontaire. L’anonymat permet au lecteur de s’identifier plus facilement au condamné. Ainsi, l’attention se concentre sur la souffrance humaine universelle et non sur la culpabilité d’un individu.
Comment le livre nous fait ressentir l’angoisse du condamné ?
Le roman utilise le monologue intérieur, comme un journal intime. Ce style révèle les pensées du personnage sans aucun filtre. Le lecteur suit le compte à rebours de ses dernières heures et ressent directement sa peur, ses doutes et son désespoir.
Bonsoir, j’avais une seconde question : quel lieu constitue plus de la moitié du livre ? Selon moi, il s’agirait de la prison de Bicêtre, mais ce serait apparemment faux. Bien cordialement.
Bonjour,
Votre fiche de lecture est très complète. J’avais une question : quand le récit débute, combien de temps reste-t-il à vivre au condamné ? Je pensais que c’était six semaines, mais sur de nombreux sites, il est inscrit 24 heures.
Merci beaucoup !
Hello,
Merci pour tes deux questions, elles sont très pertinentes !
1️⃣ Concernant le temps qu’il reste au condamné au début du récit :
Tu as raison de parler de six semaines. C’est bien ce que le narrateur évoque au début, même s’il ne connaît pas la date exacte de son exécution. On suit ses pensées pendant plusieurs semaines, et c’est seulement à la toute fin qu’on apprend qu’il ne lui reste plus que 24 heures à vivre. Les deux affirmations (six semaines et 24h) sont donc justes, mais à des moments différents du récit.
2️⃣ Concernant le lieu principal du récit :
Tu n’as pas tort en pensant à la prison de Bicêtre, puisque c’est là que se déroulent les premières réflexions du condamné, et qu’on y passe une bonne partie du livre.
Cela dit, certains estiment que c’est la Conciergerie, où il est transféré à Paris juste avant l’exécution, qui constitue le cadre dominant en intensité dramatique, notamment sur la fin.
Donc Bicêtre est bien un lieu central, mais ce flou peut expliquer pourquoi certains corrigés ou commentaires n’y voient pas le lieu principal au sens strict. Tout dépend de l’angle choisi pour analyser le récit.
Merci encore pour ta lecture attentive et curieuse !
Super, ça m’a aidé à bien me remémorer les passages importants du livre. Super, merci ! 🤗
Hello,
Ravi que ça t’ait aidé à bien te remémorer les passages importants du Dernier jour d’un condamné ! 😊 C’est un texte marquant et puissant. Merci pour ton message et bon courage pour la suite de tes lectures !
À bientôt,
Merci infiniment. Ce super résumé m’a transmis toutes les émotions du condamné.
Bonjour,
Merci beaucoup pour ton message ! Ça fait plaisir de savoir que notre résumé a su transmettre toute l’émotion du texte de Victor Hugo. C’est une œuvre singulière, et on est ravis d’avoir pu t’aider à mieux l’appréhender.
À bientôt,
J’ai lu le livre mais je ne l’avais pas compris. Grace à ça, j’ai mieux compris et j’espère avoir une bonne note.
Bonjour,
Merci pour ton commentaire, ça nous fait super plaisir de savoir que notre contenu t’a aidé à mieux comprendre Le Dernier Jour d’un Condamné ! On te souhaite d’avoir une excellente note et surtout, n’hésite pas à revenir si tu as d’autres questions ou besoin d’aide sur un autre sujet. 😊
Bonne chance,
Incroyable ! J’ai lu le résumé juste avant mon contrôle et j’ai eu 15.75/20 !!
Félicitations Chloé !
je vais avoir un 20 c’est sur
Parfaite et construite
Incroyable 👌
Meilleure analyse que j’ai trouvé
Merci. C’est dense et dit l’essentiel.