Tu as du mal Ă te mettre au travailâŻ? Câest assez ironique quand on sait que tu peux tomber sur la notion de travail au bac de philoâŻ! Pour tâĂ©viter de passer Ă cĂŽtĂ© du sujet le jour J, on tâa prĂ©parĂ© une fiche de cours retraçant la pensĂ©e de trois grands philosophes. PrĂȘt Ă les dĂ©couvrir ? Tu es bien installĂ© ? Alors câest parti ! đ
Le travail Ă©loigne de nous trois grands maux : lâennui, le vice et le besoin.
Voltaire
Ăcrivain
Comment dĂ©finir le travail en philosophie ? đ€
DâemblĂ©e, on se demande en dĂ©couvrant la signification originelle du mot « travail » si cette activitĂ© est contraignante, asservissante ou au contraire libĂ©ratrice.
Dans la langue latine, tripaliare signifie « torturer avec un tripalium », câest-Ă -dire avec un instrument Ă trois pieux destinĂ© Ă ferrer les grands animaux ou Ă punir les esclaves. Bref, le ton est donné⊠đ„Č
En philosophie, cette notion dĂ©signe lâactivitĂ© par laquelle les hommes transforment la nature qui les entoure pour lâadapter Ă leurs besoins. Si tu laboures un champ par exemple, tu modifies ton environnement Ă des fins personnelles ! đ§âđŸ
âȘïž Remarques
- En ancien français, le terme renvoie à la souffrance.
- En latin, il renvoie Ă la torture ou Ă lâimmobilisation.
đ Dans les deux cas, tu vois que le travail nâĂ©tait pas synonyme de bonheur Ă lâĂ©poque. đ
Pour dĂ©finir plus en dĂ©tail ce mot, trois philosophes se sont intĂ©ressĂ©s Ă ce quâil signifiait et Ă ce quâil impliquait dans la vie humaine. DĂ©couvre leurs idĂ©es dans la partie suivante ! đ
Hegel (1750-1831) | Marx (1818-1883) | Arendt (1906-1975) |
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La dialectique du maĂźtre et de lâesclave | Le travail humain et le travail comme aliĂ©nation | Le travail comme soumission au cycle de la vie |
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đ§Â L’allĂ©gorie de la caverne de Platon enfin expliquĂ©e !
Le travail comme spĂ©cificitĂ© et libĂ©ration đž
Le travail et la reconnaissance đ«Ą
Dans lâAntiquitĂ©, on mettait en relation cette notion avec la condition des esclaves. Comme ils Ă©taient contraints de travailler pour des maĂźtres (et pas quâun peu⊠đ), on disait quâils Ă©taient privĂ©s de libertĂ©. En suivant cette logique, ça signifie quâun homme Ă©tait considĂ©rĂ© libre lorsquâil ne travaillait pas.
đĄ Le savais-tu ?
Ce nâest quâĂ la fin du XVe siĂšcle que le verbe « travailler » remplace « Ćuvrer » dans la langue française. Avant, il Ă©tait inconcevable dâassocier lâimage dâune activitĂ© forcĂ©e et pĂ©nible avec lâactivitĂ© dâun homme dit « libre ». Si ça se trouve, dans la tĂȘte des gens, dire que « le roi travaille » signifiait que « le roi se torture »⊠đ
đ Le travail humain peut donc ĂȘtre associĂ© Ă lâasservissement, mais il peut aussi supposer quâun esclave se libĂšre de la nĂ©cessitĂ© (ses besoins Ă satisfaire) par le travail. Câest en tout cas lâidĂ©e quâa Georg Wilhelm Friedrich Hegel (alias Hegel).
Le philosophe allemand est moins catĂ©gorique concernant le lien entre lâesclave et la pĂ©nibilitĂ©. Il considĂšre que la libĂ©ration que souhaitent obtenir les esclaves nâest pas atteignable pour les maĂźtres. Ben oui, ce sont eux qui dĂ©pendent de leurs esclaves pour satisfaire leurs besoins !
đ Ćuvre clĂ©
Câest dans sa Dialectique du maĂźtre et de l’esclave que le philosophe formule sa plus cĂ©lĂšbre thĂ©orie. Cette Ćuvre, dĂ©veloppĂ©e dans La phĂ©nomĂ©nologie de l’Esprit, met en lumiĂšre l’instabilitĂ© qui existe dans la relation de domination du maĂźtre Ă son esclave.
đ€ Quelles sont les idĂ©es principales ?
Personne | Fonction | Ătat |
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L'esclave | Il transforme la nature par son travail. | Actif |
Le maĂźtre | Il jouit de la transformation quâil fait faire. | Passif |
Comme lâesclave est celui qui fait tout dans la boutique (concrĂštement, câest ça lâidĂ©e đ), il se transforme lui-mĂȘme et revendique son autonomie au fur et Ă mesure quâil travaille. Ă lâinverse, le maĂźtre ne reconnaĂźt pas le monde dans la reconnaissance qu’en fait l’esclave.
Si l’esclave s’appuie sur le produit de son travail, il peut alors renverser le rapport de domination qui lâentravait jusque-lĂ . La thĂšse d’Hegel est donc que le travail de l’esclave est la voie de sa libĂ©ration et que le maĂźtre doit le reconnaĂźtre pour son propre bien. đ
đ Quand on y pense, câest assez paradoxal puisque ça signifie que le maĂźtre qui est inactif devient dĂ©pendant du travail de son esclave. Il devient l’esclave de son esclave, quoi !
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Un travail spĂ©cifique aux hommes âïž
Dans cette mĂȘme idĂ©e de prise de conscience de soi-mĂȘme, tu retrouves la pensĂ©e de Karl Marx. Pour ce thĂ©oricien prussien, il faut diffĂ©rencier le travail humain de lâactivitĂ© animale pour ĂȘtre en mesure de crĂ©er quelque chose qui sera profitable Ă tout le monde.
âȘïž IdĂ©es notables
- Lâemploi dâoutils diffĂ©rencie le travail humain de lâactivitĂ© animale.
- Les animaux rendent les tùches humaines moins pénibles et plus efficaces.
Ce que Karl Marx veut dire en Ă©tablissant un lien entre lâhomme et la nature, câest que le travail purement humain se caractĂ©rise par une chose : la conscience. Sans dragons, bĆufs ou chevaux Ă disposition, lâhomme doit se reprĂ©senter ce quâil veut faire. đ
On nâira pas jusquâĂ dire que Marx souhaite quâon se la joue Peter Pan en rĂȘvant de voler pour y parvenir, mais lâidĂ©e reste que le travail ne serait pas une contrainte naturelle. Ce serait plutĂŽt pour toi un moyen de rĂ©aliser tes projets en en sachant plus sur toi-mĂȘme !
đ De mĂȘme, la question de la moralitĂ© fait partie intĂ©grante de la rĂ©flexion marxiste (et non pas marxienne đœ). Le travail humain profite Ă la Terre entiĂšre alors que lâactivitĂ© animale sert avant tout Ă ta subsistance ou Ă celle de tes proches.
đš Rappel
En philosophie, le mot « subsistance » renvoie au fait de pourvoir Ă ses besoins. Câest la satisfaction des besoins Ă©lĂ©mentaires dâune personne dâun point de vue matĂ©riel.
Exemple : la nourriture.
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Le travail comme aliĂ©nation đ„”
Avant de te perdre en route, laisse-nous tâexpliquer ce que signifie « aliĂ©nation ». Si, au sens littĂ©ral, câest le fait de « devenir Ă©tranger Ă soi-mĂȘme », le travail nâest pas aliĂ©nant en soi selon Marx. Pour le philosophe prussien, le travail a une connotation nĂ©gative lorsquâon devient des robots lorsquâil perd sa dimension morale et humaine. âïž
Les conceptions négatives du travail
Pour Marx, on considĂšre le lieu de travail comme un lieu dâaliĂ©nation quand on ne possĂšde aucun outil de travail ou de production. Le travail n’est alors plus qu’une marchandise quâon vend, qui nous dĂ©shumanise et qui dĂ©truit notre temps de vie.
đ Lâauteur utilise souvent lâimage de lâintroduction de machines dans notre quotidien pour parler du travail en tant quâaliĂ©nation. Le machinisme conduit indĂ©niablement Ă un travail simplifiĂ© certes, mais rĂ©pĂ©titif et sans AUCUN intĂ©rĂȘt humain ! đ
âȘïž Exemple
Lâexemple le plus frappant reste le film de Charlie Chaplin, Les Temps Modernes (1936). Cette comĂ©die dramatique amĂ©ricaine est une satire du travail Ă la chaĂźne provoquĂ© par l’industrialisation. Dans le film, lâacteur interprĂšte un personnage qui nâarrive pas Ă suivre la cadence imposĂ©e par les machines. Question rentabilitĂ©, le hĂ©ros a la tĂȘte sous lâeau ! đ
En conclusion, le travail aliĂ©nant nâest plus quâune contrainte quâon supporte pour gagner sa vie. On ne peut plus se reconnaĂźtre dans ce quâon fait et notre activitĂ© ressemble davantage Ă une activitĂ© animale quâĂ un ouvrage humain.
đš Qui sont les responsables dâaprĂšs Marx ?
- Le capitalisme, modĂšle Ă©conomique qui repose sur lâenvie de faire du profit.
- L’Ătat, systĂšme fondĂ© sur le capitalisme et sur la lutte des classes.
- Les patrons qui tirent profit de leurs employés « forcés de se vendre ».
Rappel : la lutte des classes est un concept marxiste qui apparaĂźt dans le Manifeste du Parti communiste (1848). Selon lâĂ©crivain, câest une situation oĂč la bourgeoisie et le prolĂ©tariat s’opposent en raison de l’exploitation de la seconde par la premiĂšre qui possĂšde le capital. Pour en savoir plus sur la lutte des classes, câest par ici ! đ
Le travail et la nĂ©cessitĂ© âïž
Tu vois la leçon que fait Mufasa Ă Simba dans le Roi Lion concernant le cycle de la vieâŻ? Eh bien, Hannah Arendt, elle, va encore plus loin en supposant que le travail est une façon pour lâhomme de rester soumis Ă ce quâelle appelle « la nĂ©cessitĂ© vitale ».
â Lâimage du cercle
La nĂ©cessitĂ© vitale, câest-Ă -dire les besoins humains essentiels, implique que lâhomme doit travailler pour satisfaire des besoins qui se renouvellent sans cesse. Ce nâest pas un cercle vicieux, câest le cycle de la vie ! đ
En soi, travailler serait une maniĂšre de contribuer Ă reproduire le cycle de la vie vu que le produit dâun travail est consommĂ© dĂšs quâil est rĂ©alisĂ©. Il doit ĂȘtre reproduit constamment, comme le fait de se nourrir en mangeant des pĂątes Ă la bolo (bon OK, ça ce nâest pas obligĂ©).
Si on compare la vision de Karl Marx Ă celle dâHannah Arendt, on voit quâils ont une conception diffĂ©rente du travail. Ils se rejoignent sur lâidĂ©e dâune activitĂ© pouvant ĂȘtre aliĂ©nante, mais ils parlent dâune autre façon du machinisme.
đ Dans son analyse critique du travail humain, la philosophe allemande nâĂ©carte pas la perspective dâune sociĂ©tĂ© qui serait libĂ©rĂ©e du travail grĂące aux machines. đ€
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Des remĂšdes Ă lâaliĂ©nation ? đ§Ș
Le rĂŽle et la place de lâĂtat đ€
Quelle que soit la pensĂ©e de chacun des philosophes Ă©tudiĂ©s, il apparaĂźt Ă©vident que lâĂtat joue un rĂŽle crucial dans la lutte contre lâaliĂ©nation. Son intervention sous la forme de lois est nĂ©cessaire pour Ă©viter que les hommes ne deviennent des machines bonnes quâĂ travailler encore et encore. đ€§
âȘïž Ă quoi servent ces lois ?
- Elles garantissent le respect des personnes.
- Elles font en sorte que la rentabilité ne soit pas le seul critÚre de travail.
- Elles définissent des conditions de travail dignes.
đ En philosophie, on croit ainsi que lâĂtat aurait la responsabilitĂ© de crĂ©er et de mettre en place des lois pour produire une sociĂ©tĂ© juste et harmonieuse. La perfection ! đ
Le modĂšle du loisir đł
Câest vrai que, quand on y rĂ©flĂ©chit, les loisirs sont TRĂS importants dans notre vie. Lorsque tu rentres de lâĂ©cole, tu nâas souvent quâune seule chose en tĂȘte : te dĂ©tendre en faisant ce que tu aimes le plus au monde (bouquiner, jouer Ă un jeu-vidĂ©o, faire du sport, etc.). đŽ
đȘ§ Attention : pour Arendt, il faut revaloriser le modĂšle antique du loisir. Selon elle, comme le progrĂšs technique nous libĂšre de la nĂ©cessitĂ© de travailler et nous fait gagner du temps, on doit privilĂ©gier les activitĂ©s sĂ©rieuses et utiles.
âȘïž Exemples
- Lâart qui produit des Ćuvres qui existent en dehors du travail.
- La politique qui laisse derriĂšre elle des actions qui perdurent.
đ En somme, la philosophe allemande pense que le loisir ne devrait pas ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un remĂšde contre lâennui. Ce serait plutĂŽt un moyen dâaccomplir quelque chose et de te trouver toi-mĂȘme en utilisant tes facultĂ©s et tes talents. đ«
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Comment utiliser cette notion au bac de philo ? đ
Au bac de philosophie, tu peux tomber sur des sujets qui se rapportent Ă trois perspectives liĂ©es Ă la notion de travail. Cette liste nâest pas exhaustive, mais câest toujours bien de checker ces diffĂ©rentes dimensions ! đ
Lâexistence humaine et la culture đ
Ici, le travail a un lien Ă©troit avec des questions dâordre existentiel ou qui relĂšvent de la culture. Les hommes sont directement impliquĂ©s puisquâon veut savoir ce que le fait de travailler leur apporte. Est-ce que câest un moyen de sâhumaniser davantage ? Hmm⊠đ§
âȘïž Exemples de questions
- Le travail serait-il une action déshumanisante ?
- Que gagne-t-on Ă travailler ?
đ Pour ce type de questions, ne te contente pas de rĂ©pondre que le travail nous permet de gagner ou de perdre en humanitĂ©. Demande-toi si câest le travail en lui-mĂȘme qui est discutable ou si ce sont les conditions qui sont remises en cause.
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đ¶ Apprendre la philosophie en chanson, c’est pas sorcier !
La morale et la politique đ
Ton sujet interroge les effets du travail sur lâhommeâŻ? On parle de conditions de travailâŻ? Il y a des chances pour que le correcteur sâattende Ă ce que tu Ă©voques la pensĂ©e marxiste. Ici, tu peux te demander si le travail sert toujours Ă des fins morales ou sâil balaye les valeurs humaines dâune pichenette⊠đ§č
âȘïž Exemples de questions
- Le travail contribue-t-il Ă unir les hommes ?
- Le travail contribue-t-il Ă diviser les hommes ?
đ LĂ , tu devras parler des effets positifs ET pervers du travail, de lâexigence des boss, de la productivitĂ© quâimplique cette activitĂ© et de lâĂtat. Tout comme les instances politiques, les patrons jouent un rĂŽle dans le monde du travail. Mets bien en avant les acteurs impliquĂ©s !
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đ DĂ©couvre la notion d’inconscient en philosophie !
La connaissance đ§âđ«
Dans cette dimension (non, pas la quatriĂšme đłïž), on regroupe les sujets qui entrent en relation avec lâhomme au niveau intellectuel ou spirituel. Câest entre ta conscience et toi, quoi ! đ
âȘïž Exemples de questions
- Le travail permet-il de prendre conscience de soi ?
- Quel impact le travail a-t-il sur la perception quâon a de nous-mĂȘmes ?
đ En fonction des conditions de travail et de la façon dont il est perçu (contraignant ou enrichissant), lâhomme peut pleinement dĂ©ployer ses facultĂ©s.
âȘïž DiffĂ©rentes facultĂ©s
- Physiques
- Morales
- Intellectuelles
đȘ§ Attention : il y a un paradoxe intĂ©ressant Ă mettre en Ă©vidence. Si lâhomme crĂ©e des machines grĂące Ă ses facultĂ©s, il peut en mĂȘme temps perdre lâusage de sa rĂ©flexion et de sa pensĂ©e. Ben oui, des machines qui font des humains de vrais robots, ça laisse perplexeâŠ
RĂ©capitulatif des idĂ©es principales â
Relis les points clĂ©s de cette fiche de cours pour te faire des flashcards qui dĂ©chirent ! đ
đ Ă lâorigine, le travail Ă©tait associĂ© Ă l’asservissement et Ă la souffrance.
đ Trois philosophes se sont penchĂ©s sur cette notion : Hegel, Marx et Arendt.
đ Hegel a dĂ©veloppĂ© la dialectique du maĂźtre et de l’esclave.
đ Hegel affirme que le travail de l’esclave est la voie de sa libĂ©ration.
đ Marx distingue le travail humain de l’activitĂ© animale.
đ Marx considĂšre que le travail aliĂ©nant est dĂ©shumanisant.
đ Arendt soutient que le travail est une nĂ©cessitĂ© vitale.
đ Arendt pense que les loisirs devraient ĂȘtre revalorisĂ©s.
đ En crĂ©ant des lois, l’Ătat joue un rĂŽle dans la lutte contre l’aliĂ©nation.
đ Le loisir est un moyen d’utiliser ses facultĂ©s personnelles.
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đ Tu es curieux ? DĂ©couvre la vĂ©ritable histoire du bac !
Conclusion âš
Maintenant que tu sais tout sur la notion de travail, câest Ă toi de jouerâŻ! Le bac te tend les bras. Si tu es toujours dans lâoptique de le fuir parce que tu galĂšres en philo, prends des cours de philosophie avec un Sherpa !
SynthÚse bien élaborée, accessible, donc utile. Merci.
Merci Ă toi pour ton commentaire, on est ravis d’avoir pu t’ĂȘtre utile ! Ă trĂšs bientĂŽt sur le blog đ
Câest bien
Merci pour ton retour đ«Ą