Le mécanisme repose principalement sur l'action de l'enzyme PETase qui décompose le PET en monomères simples tels que l'acide tétra-hydroxyéthylique et l'éthylène glycol. Ceux-ci sont ensuite assimilés par la bactérie comme source d'énergie.
Elle a été découverte pour la première fois au Japon, près d'une installation de recyclage de plastique où l'on a observé sa capacité à se développer sur des morceaux de PET laissés ouverts dans la nature.
L'avantage majeur est sa capacité à décomposer naturellement le PET. Pourtant, ses limites incluent une efficacité variable selon les types de plastique et le besoin d'infrastructures spécifiques pour l'utiliser à une échelle industrielle.
Bien qu'elle puisse contribuer significativement à la réduction des déchets plastiques, seule, cette bactérie ne suffira pas à résoudre entièrement la crise mondiale des plastiques. Des efforts concertés dans la réduction, réutilisation, et conception de matériaux alternatifs restent essentiels.