La durée du cycle menstruel peut varier en fonction de divers facteurs dont la génétique, le stress, l'alimentation, et l'activité physique. Ces influences extérieures peuvent perturber l'équilibre hormonal et allonger ou raccourcir les phases du cycle.
La plupart des femmes expérimentent des signes physiques tels que des douleurs légères au niveau des ovaires, une augmentation de la température corporelle basale ou une modification de la glaire cervicale lors d'une ovulation réussie. Une observation attentive peut aider à mieux comprendre son propre cycle.
Les contraceptifs hormonaux modifient le cycle en empêchant l'ovulation via la suppression de la sécrétion naturelle de fsh et de lh. Ils stabilisent artificiellement les niveaux d'œstrogènes et de progestérone afin d'assurer une protection contre une grossesse non désirée.
L'hypothalamus sécrète des messagers chimiques qui stimulent l'hypophyse, initiant la libération de fsh et de lh essentielles pour réguler le cycle menstruel. Cette interaction constitue une boucle de rétroaction sophistiquée qui maintient l'équilibre hormonal tout au long du cycle.