de la farce<\/strong>. A travers ses pi\u00e8ces, il critique des th\u00e8mes de la soci\u00e9t\u00e9 dans laquelle il vit avec beaucoup d\u2019humour. \ud83d\ude05<\/p>\n\n\n\nSa jeunesse<\/h4>\n\n\n\n
Moli\u00e8re a pass\u00e9 sa jeunesse \u00e0 Paris<\/strong> car son p\u00e8re<\/strong>, Jean Poquelin, \u00e9tait marchand tapissier<\/strong> et avait son propre fonds de commerce install\u00e9 dans la ville. \ud83c\udfd9<\/p>\n\n\n\nD\u2019apr\u00e8s certaines recherches men\u00e9es par des historiens, Moli\u00e8re aurait fait des \u00e9tudes.<\/strong> \ud83c\udf93 Cependant, rien n\u2019a pu \u00eatre prouv\u00e9<\/strong>. Des t\u00e9moignages auraient laiss\u00e9 entendre que Moli\u00e8re a commenc\u00e9 ses \u00e9tudes au coll\u00e8ge j\u00e9suite de Clermont,<\/strong> actuellement plus connu sous le nom du Lyc\u00e9e Louis-le-Grand. Puis, il aurait ensuite fait une Licence en droit \u00e0 Orl\u00e9ans<\/strong> mais le nom de Jean-Baptiste Poquelin n’appara\u00eet sur aucun registre de l\u2019universit\u00e9 d’Orl\u00e9ans, ni sur le registre des personnes ayant obtenu le barreau.<\/p>\n\n\n\nSes d\u00e9buts au th\u00e9\u00e2tre<\/h4>\n\n\n\n
<\/figure><\/div>\n\n\nLes d\u00e9buts du c\u00e9l\u00e8bre dramaturge ont \u00e9t\u00e9 difficiles<\/strong>. En 1646, Moli\u00e8re a 21 ans et il d\u00e9cide de fonder la troupe de l\u2019Illustre th\u00e9\u00e2tre<\/em><\/strong> avec une dizaine d’autres personnes. \ud83c\udfad Malgr\u00e9 le fait qu\u2019il collabore avec des personnes connues dans le th\u00e9\u00e2tre comme Madeleine B\u00e9jart<\/strong> (com\u00e9dienne du XVIIe si\u00e8cle c\u00e9l\u00e8bre pour sa personnalit\u00e9 de femme ind\u00e9pendante), la troupe ne r\u00e9ussit pas \u00e0 s\u2019imposer dans les th\u00e9\u00e2tres parisiens et fait faillite. \ud83e\udd25 Moli\u00e8re est alors emprisonn\u00e9 tr\u00e8s peu de temps apr\u00e8s \u00e0 cause de ses dettes.<\/p>\n\n\n\n\ud83d\udca1 Anecdote : Moli\u00e8re a \u00e9pous\u00e9 la com\u00e9dienne Armande B\u00e9jart<\/strong>, qui est la fille de Madeleine B\u00e9jart.<\/p>\n\n\n\nSuite \u00e0 cet \u00e9chec, il d\u00e9cide de quitter Paris pour partir en Province. \ud83d\ude82 Il rejoint alors une troupe<\/strong> prestigieuse de campagne<\/strong> avec laquelle il joue<\/strong> pendant 12 ans<\/strong> (de 1646 \u00e0 1658). C’est \u00e0 ce moment qu\u2019il commence \u00e0 \u00e9crire ses premi\u00e8res pi\u00e8ces. \ud83d\udcda<\/p>\n\n\n\nSes moments de gloire<\/h4>\n\n\n\n
Lors de son retour \u00e0 Paris, Moli\u00e8re est convi\u00e9 par Philippe d\u2019Orl\u00e9ans, le fr\u00e8re unique du roi Louis XIV. \ud83d\udc51 Celui-ci lui demande de jouer des pi\u00e8ces de th\u00e9\u00e2tre au Louvre. Le 24 octobre 1658, Moli\u00e8re se produit devant Louis XIV pour la premi\u00e8re fois<\/strong> en jouant la trag\u00e9die Nicom\u00e8de de Corneille. \ud83d\udc4f Suite \u00e0 cette r\u00e9ussite, Moli\u00e8re et sa troupe se reproduisent pendant deux ans au th\u00e9\u00e2tre du Petit-Bourbon.<\/p>\n\n\n\nEn 1659, Moli\u00e8re joue pour la premi\u00e8re fois Les pr\u00e9cieuses ridicules<\/em><\/strong>, une de ses pi\u00e8ces. Et l\u00e0, c\u2019est un franc succ\u00e8s<\/strong>. Des gens viennent des 4 coins de la France pour venir voir la pi\u00e8ce. C’est le d\u00e9but de la carri\u00e8re de Moli\u00e8re<\/strong> en tant que dramaturge.<\/p>\n\n\n\n \n \n
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Olivier<\/p>
La Sorbonne<\/p>
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